Chacun fait ce qu'il lui plait, plait, plait...

"On fait ce qu'on veut, on est chez nous !"

Outre que cela me rappelle des slogans nauséabonds de certains extrémistes droitiers, j'ai été ce matin interpellé par cette phrase à propos de salades. 

Vous ne voyez pas le rapport ?

Levé tôt en ce matin de printemps, un petit coup d'œil sur fessedebouc où la photo d'un potager (?) s'affiche sur l'écran de ma petite fenêtre sur le monde. Une rangée de salades bien alignées (ça j'aime bien qu'elles soient alignées, nul n'est parfait !), une rangée d'oignons, quelques pieds de tomates, etc, et au sol... au sol une bâche en plastique !

Grrrr, comment vais-je faire pour trouver ma pitance dans ce désert ?

Un petit coup d'œil aux commentaires et là c'est la bagarre : évidemment il y a les tenants de ces méthodes industrielles qui détruisent toute vie dans le sol et les tenants d'une culture respectueuse du sol et de ses habitants qui sont tellement essentiels à la nourriture... de notre nourriture...

Et c'est là que, à bout d'arguments sans doute, le potagiste en question à lancé la phrase qui tue : "On fait ce qu'on veut, on est chez nous !"

Sauf que ce n'est pas tout à fait vrai car ce qu'il fait chez lui a aussi un impact chez nous !!!

Jugez plutôt : un petit clic pour en savoir davantage.

Merci à l'auteur de ces lignes.

Bon, de ce pas je vais aller dans mon potager tenter de faire cohabiter mes légumes avec les herbes qui se présentent là où je ne voudrais pas qu'elles soient (celles que bon nombre d'ignorants appellent "mauvaises").

Hi, hi, hi...